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Sirop de griotte

30 mars 2008

L'aventure continue

Nous avons le plaisir de vous annoncer l'élection à vie d'Anastasie la Griotte comme maire-tyran d'un magnifique hameau indépendant : Monhamo-Amoah

Retrouvez ses aventures sur le blog de Monhamo-Amoah, et participez à la vie municipale du hameau en cliquant sur le bandeau juste au dessus ou en recopiant ce lien dans votre navigateur   : http://monhamoamoah.canalblog.com


Mme_le_Maire_07

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18 mars 2008

De l'égalité des chances



"L'égalité des chances, c'est la chance de prouver l'inégalité des talents"

(Sir Herbert Samuel, diplomate et homme politique anglais (1870-1963)

2 mars 2008

Sandale à Eurodisney .... by Deligne

grincheux

27 décembre 2007

Une petite pensée pour un ange nommé Chloé

Chlo__f_e Une petite pensée pour une petite fille de 5 ans qui s'en est allée cette nuit voir ses copains les anges, après s'être battue jusqu' au bout contre une horrible maladie, et pour ses parents Olivier et Annie. Et une petite chanson douce en son honneur !
24 décembre 2007

Joyeux Noël

tradition
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23 novembre 2007

Martine .... nostalgie ?

pic02980 pic03599pic05901pic06664pic10995pic11079pic12554pic13030pic13408pic13447pic16240pic17907pic20056pic25417pic27319pic29185pic30644pic32754
22 novembre 2007

Un po-aime d'Antoine, mon fils-poète !

idées... messieu vous étes là, et vous ne savé pas pouquois, mais ce n'est pas pour rien, alor aider votre prochain, tendez lui la main, allez nourrir un afamé, lieu de tout jeter, réchauffé qui a froid, au lieu de chercher des pourquois, messieu je ne suis, ni saint ni phylosophe, je ne parle qu'en strophe... vous voulé découvrir, mars ou jupiter, mais avant de partir, occupez vous de cette terre! peut étre que ce que j'écrit, vous donne envi de rire, peut étre que pour vous je ne suis, q'un ado qui délire, mais détrompez vous, ma plume ne ment jamais, je suis peut étre un fou, mais je me bat pour mais idée, CES IDEES QUE J AI GRAVER DS MON PASSE ET QUE JE PLANTE DANS MON FUTUR CES IDEE SONT LA STRUCTURE DE TOUT CE QUE J ECRIT OU FAIT Antoine.M
9 novembre 2007

"Allez voter "qu'i disait !

Lu dans la presse : "Les députés ont approuvé l'instauration des franchises médicales par 44 voix contre 27" ; et aussi : "Le vote par scrutin public a été acquis par 43 voix pour et 16 contre" (il s'agissait des mesures "incitatives" à l'installation de médecins dans les zones sous-médicalisées). Il y avait donc 71 députés présents au maximum au cours de ces votes, soit 13% du total. Et si on réduisait le nombre de députés à 100 au lieu de 551 ? 339859_419432
5 novembre 2007

Les entreprises qui emploient plus de femmes gagnent plus d’argent

557px_Christine_de_Pisan___cathedra En ce jour de Sainte-Griotte, une réflexion qui vaut de l'or : "Les entreprises qui emploient plus de femmes gagnent plus d’argent que celles qui ne recherchent pas spécialement la parité, telle est la conclusion d’une récente étude menée par McKinsey&Company. « Placer plus de femmes en haut de l’échelle entraîne une meilleure organisation », concluait Sandrine Devillard lors de sa présentation du rapport au Women’s forum qui se tenait à Deauville, du 11 au 13 octobre dernier. Le cabinet de conseil américain McKynsey&Company, particulièrement engagé dans la promotion de la diversité en entreprise, a intitulé son rapport « Les femmes comptent ». D’après eux, une meilleure intégration des femmes dans le milieu des affaires permet de changer la donne de la concurrence. Augmenter le nombre de femmes actives serait même l’une des solutions les plus efficaces pour contrecarrer la réduction du temps de travail : selon le cabinet, les femmes ayant des fonctions décisionnaires sont tout simplement plus efficaces que leurs homologues masculins ! L’étude souligne qu’il faut au moins trois femmes à des postes de direction pour qu’une société perçoive les effets bénéfiques du management paritaire. Une intervenante du congrès conclut : « Je ne crois pas au mythe du plafond de verre. C’est plutôt une très épaisse couche d’hommes qu’il faut traverser. »
2 novembre 2007

En ce jour des défunts ....

NON, LA GRIOTTE N'EST PAS DÉFINITIVEMENT CONFITE .... ! Qu'on se le dise .... Pour savoir ce qui l'occupe en ce moment cliquez sur A retrouver sur Loft à Barbizon
1 novembre 2007

En ce jour de Toussaint

"La vie des morts consiste à vivre dans l'esprit des vivants" Cicéron Et ce soir : mon film préféré "La famille Adams" sur NT1 g5tdnfyl
18 octobre 2007

Huum Chabal !!

Un jour dans un train un Anglais, une jolie Norvégienne et Chabal sont dans le même compartiment. Ils roulent comme ça sans se parler depuis des heures, quand un tunnel vient plonger le train dans l'obscurité la plus totale. On entend alors un bruit de bisou immédiatement suivi d'un bruit de baffe. Quand le tunnel se termine que la lumière revient, Chabal et la Norvégienne sont assis comme si de rien n'était et l'Anglais se tient la tête à deux mains, visiblement sonné. L'Anglais se dit : " Chabal a du embrasser la Norvégienne, elle a cru que c'était moi et elle m'a collé un pain." La Norvégienne pense : "L'anglais a dû vouloir m'embrasser mais il a loupé son coup et a embrassé Chabal qui n'a pas apprécié." Chabal se dit : "Au prochain tunnel je refais le bruit du bisou pour coller une autre mandale à cette enflure d'Anglais." chabal_conan_lobo_lobofakes
29 août 2007

Bôté

"Combien de mois, combien de vies faut-il pour écrire une phrase qui égale en puissance la beauté des choses?" Christian Bobin, Le huitième jour de la semaine.
31 juillet 2007

Christine Angot, la malade imaginaire - par Gilles Martin-Chauffier

imagesChristine Angot, la malade imaginaire - par Gilles Martin-Chauffier Elle revient ! Et cette fois-ci c’est l’acteur et le banquier qu’elle croise qui font les frais des tourments de cette éternelle hypocondriaque, plus “moitrinaire” que jamais. Christine Angot a encore changé d’éditeur. Après Gallimard, Fayard et Stock, la voici chez Flammarion. Elle n’est jamais contente de ceux qui se battent pour elle. Etre son attaché de presse ne doit pas être drôle. Si on en juge par ses livres, c’est une personne qui ignore l’humour et ne supporte pas l’ironie. Ne pensez pas qu’elle compense cette lacune par un emploi habile du suspense, des portraits, du style, du dialogue ou de quelque autre ficelle romanesque éprouvée. Christine Angot n’a qu’une corde à son arc : la vérité. Elle dit ce qu’elle pense et raconte ce qui lui arrive. Point final. Que pense-t-elle ? Rien. Que lui arrive-t-il ? Rien. Ainsi l’an dernier est-elle tombée amoureuse d’un comédien. Il lui plaisait physiquement et elle aimait l’idée de séduire un acteur de théâtre qui, d’habitude, vit dans le texte. Elle l’avait repéré car il avait dit à droite à gauche qu’il aimait ses livres. Il aurait mieux fait de se taire, ça lui aurait évité de lire les 380 pages qu’elle consacre à sa dérobade. Car, pour finir, je vous le dis tout de suite, il l’enverra promener. On parle d’une histoire d’amour sans queue ni tête. Cela dit, ne regrettez pas l’échec de la tentative de séduction de Christine Angot. Eût-elle atteint son but qu’on n’aurait tout de même rien eu à lire. Où qu’elle passe, Angot ne regarde jamais autour d’elle. Dans un restaurant, elle ne voit personne et ne mange rien. Vous pourriez l’emmener à l’Elysée, elle n’a d’yeux que pour son magnifique paysage intérieur. A ce point, c’est même fascinant. Comme amant, au début du livre, elle a un banquier, potentat du Tout-Paris financier, propriétaire dans le Luberon, installé près du jardin du Luxembourg. C’est une espèce de César Birotteau déguisé en Casanova qui disserte sur Sollers et parle à son chauffeur comme hier les nouveaux riches s’adressaient à leur cocher. Va-t-elle le mettre en scène ? Non. Il ne sert que de faire-valoir à ses idées sur elle-même. A son propos, elle ne répète qu’une seule chose (quinze ou vingt fois) : pour jouir avec lui, il suffisait qu’elle se dise à l’instant propice que c’était un salaud. Si on était mal à l’aise face à une telle confidence, le livre serait réussi. Là, non. On a juste envie d’appeler le Samu et d’évacuer cette femme avant qu’elle ne brise la vie de sa fille, une adolescente, Léonore – dont on ne saura absolument rien sinon qu’Angot éclate sans cesse en sanglots devant elle sans rime ni raison. Ce n’est plus une mère, c’est le mur des Lamentations. Quand elle n’appelle pas son analyste, elle dissèque les désespoirs qu’elle s’invente, s’assied sous l’arbre à palabres et commente tout ce qui ne lui arrive pas. On dirait une pleureuse branchée sur pilote automatique. Avec ça, elle se juge stendhalienne et se trouve assez XVIIIe siècle. Erreur : elle serait plutôt XVIIe. C’est Christine Argan la malade imaginaire. Elle est faite pour le marivaudage comme Mme de Sévigné pour le labourage. A force de harceler son acteur, elle provoque son agacement, bêle comme un agneau et réclame qu’on la console. Etre son ami doit être un véritable chemin de croix. Pas à ses yeux, cela dit. Elle se prend sincèrement pour un incident passionnant dans la vie de ceux qu’elle croise. En fait, elle se croit romantique et rebelle car elle fait passer ses sentiments avant tout. L’ennui, ce sont les sentiments en question : vanité et nombrilisme. Pour le reste, zéro. Je vous expliquerais plus vite la théorie des trous noirs que la psychologie de cette égoïste. Elle-même, du reste, ne sait pas bien ce qu’elle raconte. Aux deux tiers du livre, elle envoie son fatras à son éditeur afin qu’il lui révèle ce que raconte le texte. Dommage qu’on ne nous ait pas mis ces explications en annexe. Mais peut-être Flammarion n’avait-il pas vraiment lu le manuscrit ? Sinon aurait-on laissé passer, par exemple, ce spécimen de littérature Angot : « Il était debout. Il avait remis son blouson, qu’il n’avait d’ailleurs pas enlevé. » Pour reprendre l’expression de l’auteur elle-même à propos de son travail, c’est vertigineux. Mais comme on dit en médecine : d’une totale innocuité. On lit cet interminable chagrin d’amour et on ne ressent rien. « Rendez-vous », de Christine Angot, éd. Flammarion, 380 pages, 20 euros. Auteur : Gilles Martin-Chauffier PARIS-MATCH - n° 2988 du 24/8/2006
13 juillet 2007

La griotte mentonne !

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Oui, ça m'a pris comme ça de vous donner des nouvelles du Sud ....

Cuite à point la Griotte à Menton ! Alors je vous plante le décor : une eau turquoise, façon Caraïbes, des km de plages en pierraille, la chaleur et le soleil à volonté, des maisons colorées plantées sur un piton tout au bout de la France (donc du monde !), et aussi l'ombre de Jean Cocteau, la délicieuse musique de l'italien dans nos oreilles "Carlotta" ou "Paolo" qui sentent bon le cinema paradiso de mon enfance (Fellini, Mastroianni, Sergio Leone et et tutti quanti !) le plus souvent, quand ce ne sont pas les hurlements des bambini façon Berlusconi et Cicciolina en plein rut.

Mais je m'égare ....( difficile dans cette petite bourgade, t'as vite fait le tour tout de même des petites rues pavées) y'a donc ici tout ce qu'il faut pour attirer le touriste conquis d'avance : les huiles d'olives, les agrumes, les "ethniques", les tatouages disco ("que ça reste 8 jours, le dragon que je vous ai mis là, ça fera 20 euros !"), les tongs, les bouées, les nappes provençales, les sacs à lavande, le manège à chevaux de bois, le Mac Do qui pue comme partout ailleurs, les Mamadou sur la plage, et tout et tout ! Mais non, je ne suis pas en train de vous raconter ce que je vais ramener .... moi j'ai trouvé un super coin, (un peu paumé) qui vend des huiles sublimes, du vinaigre balsamique blanc, de l'huile parfumée aux agrumes. Bref de quoi prolonger le séjour dans les assiettes comme ils disent dans les guides gastronomiques (je sais j'en ai écrit une tripotée !)

Bon c'est sûr c'est pas l'endroit le plus branché de la Côte d'Azur, c'est pas l'ambiance Juan les Pins ou Saint-Tropez, y'a pas les yachts monstrueux de Monaco. Ici difficile d'apercevoir un humain entre 20 et 70 ans ... y'a surtout plein de mouflets qui causent (j'ai dit qui causent, pas qui crient,) italien, anglais ou belge, et leurs mamies à l'ossature bien tassée, leur centre de gravité largement en baisse, et la peau parcheminée sur maillot de bain infâme.

On a même eu l'outrecuidance de chercher un bar cocktail avec ambiance ... dur, dur ! Coca rondelle et pas un fruit ni une cahuète à l'horizon.

Je ne vous ai pas parlé du casino, celui-ci nous ayant lâchement dépouillé d'une centaine d'euros ! Quoique fraîchement gagnés à la sueur de mes Assedics ce fut plutôt un mauvais souvenir ! Bon, en fait si on compte bien on a juste perdu ce qu'on avait gagné à Cabourg ....un prêté pour un rendu quoi !. Et en plus l'un des croupiers du black-jack avait une petite gueule d'ange alors !

images

Bref, sea, sex and sun pour La Griotte et son griot, (sans la grappe de griottins !).

Sauf que côté sea, elle a l'orteil gauche qui a doublé de volume sous la poussée agressive de 5 piques sorties tout droit d'un banc de saloperies-de-bordel-de-merde d'oursins anthropophages. Je vois d'ici ricaner ceux qui me connaissent. Oui, la Griotte a osé au bout de 7 jours de mise en confiance et de bonnes résolutions, mettre ses petits petons dans l'eau mouillée à 24°.

Et tandis que l'autre idiot de griot, zébré rose et blanc, la mitraillait de photos pour fixer l'événement (la mise à l'eau, je rappelle !), elle a posé ses petits pieds délicats sur un rocher (histoire de ne pas se mouiller plus haut que le ventre) et s'est fait lâchement attaquer le gros orteil gauche par l'un de ces oursins. Tout ça pour 2 trempettes jusqu'aux genoux + 2 essais de brasse dans 20 cm d'eau dans la semaine, la Griotte jura qu'on ne l'y reprendrait plus, et que son signe astrologique (poisson ascendant morue) ne lui convenait décidément pas.

Quand au sun y'a pas problème c'est du all inclusive garanti ici ! Et le sex c'est quand y'a plus de sun.  (Tiens, essayez de lire à haute voix cette phrase, c'est vachement pour les photos c'est mieux que cheeeeese !).

Fastoche !

Bon, un bisou spécial à tous les parisiens stressés par un mois de pluie ... courage et à lundi.

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Sirop de griotte
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